Les conseils utiles pour passer son deuil

Le deuil est un évènement qui nous concerne tous un jour. Selon un reportage sur YouTube, 600.000 personnes décèdent en France, soit une personne chaque minute. Il est difficile de passer son deuil, et des fois on a vraiment besoin d’aides extérieures pour le faire.

Réaction des parents lors du deuil de son enfant

Enterrer son enfant est un événement tragique pour les parents. Chaque parent a sa façon de faire le deuil de son enfant. Des parents restent en colère durant des mois et des années. Certains pleurent, et ressentent de la tristesse dans sa vie pendant longtemps. Il y en a qui deviennent malades, d’autres sont même internés dans un hôpital psychiatrique. Plus rien autour d’eux n’ont de valeur, et quelquefois, on n’a vraiment plus envie de vivre. Le chemin est long avant qu’on finisse par accepter la mort d’un proche. Et puis, ce qui est insupportable est d’entendre les phrases qui sortent souvent de la bouche de la famille ou des amis proches. Du genre : « Vous aviez consacré plus de temps au travail qu’à votre enfant », ou encore « Vous pouvez en faire un autre », ou encore « Vous en avez encore d’autres enfants à s’occuper », ou encore « Oh, ça va ! il n’a eu que 3 mois », etc. Ce sont des phrases qui sortent naturellement de la bouche des gens, mais ils ne sont pas conscients que ce sont des mots blessants. Pour avoir un conseiller à ses côtés lors de ce moment-là, vous pouvez contacter le site pompes-funebres.info.

Résumer les étapes du deuil

La première étape du deuil est la sidération ou le déni de la situation. On a du mal à comprendre ce qui se passe et surtout, on est loin de l’accepter. Et pour un être humain, il est très difficile d’assimiler l’information du deuil.

La deuxième étape est la colère, où une révolte contre la mort, surtout quand il s’agit d’un enfant, on sent qu’il y a une injustice. Et puis on va avoir de la négociation, et ceci demande beaucoup d’énergie. On peut traduire cette négociation à des suppositions. Par exemple : « Si j’avais été là, cet enfant n’aurait pas été mort ! » ou encore, « Si j’étais arrivé à temps, peut-être qu’on l’aurait emmené à l’urgence tôt », etc. Le but est de repousser le chagrin.

La prochaine phase est l’arrivée de chagrin. Et là on se sent triste, on se souvient des bons moments passés ensemble avec le défunt. Et c’est vrai qu’on a besoin de temps pour effacer ce chagrin. Il n’y a pas de règle qui définisse dans combien de temps avons-nous besoin pour faire notre deuil. Chaque personne est différente, et ceci dépend aussi du degré de relation qu’on a eu avec le défunt.

Il y a des associations qui accueillent ces personnes qui ont perdu un proche et qui n’arrivent pas à faire son deuil. On peut aussi passer notre temps à voyager et à profiter de la vie comme on peut. On peut se tuer à se rapprocher à dieu, à faire des œuvres de bienfaisance, et à s’occuper des autres qui ont besoin d’être accompagnés.